• International Training Center

    International Migration Program

    Office for Algeria, Libyan Arab Djamahiria, Morocco and Tunisia

    LABOUR MIGRATION FOR INTEGRATION

    AND DEVELOPPEMENT IN AFRICA

     

    PROGRAMME PROVISOIRE

    Séminaire Rabat, 26-27 avril 2006

     

     

    Date et heure

    Activité

     

    1er jour

     

    Président de session

    Président de session

    08:00-09:00

    09:00-11:00

     

    plénière

    Accueil des participants, distribution des badges

    session 1 : session d’ouverture

    11:00-11:30

    Pause café

     

     

    11 :30-13 :00

    plénière

    session 2 : Le mAghreb, aujourd’hui région de transit et d’accueil

    . Panorama global sur la région, et le cas de l’Algérie

    Mr Mohamed Saïb Musette

    (expert) 

     

    . Le cas du Maroc

    Mr Mohamed Khachani

    (expert)

     

    . Le cas de la Tunisie

    Mr Mohamed Trabelsi

    (Union Générale des Travailleurs Tunisiens – Tunisie)

     

    . Représentant des Employeurs Marocains :

    Mr Mohamed JALAL

    (Confédération Générale des Entreprises du Maroc – Maroc )

    débat

     

     

     

    13:00-14:30

    Déjeuner

     

    14.30-15.30

     

     

    plénière

     

    session 3 : la migration de l’afrique de l’ouest vers le maghreb

    . Panorama global sur la région Afrique de l’Ouest

    Mr Aderanti Adepoju

    (expert)

    . Intervention des représentants des partenaires sociaux d’Afrique de l’Ouest 

    Mr David Dorkenoo

    (Union des Syndicats, Ghana)

    Mme Adebola Soyoye

    (Association Consultative des Employeurs, Nigeria)

    Mme Adèle Traore

    (Conseiller Technique, Ministère de l'Emploi, du Travail, et de la Jeunesse, Burkina Faso)

    débat

     

     

     

     

     

     

    15 :30 –16.00

    Pause café

     

    16.00-17 :30

    ateliers

    Session ateliers

     

     

    2ème jour

     

    Date et heure

    Activités

    Président de session

     

    09:00-09 :15

    Bilan du premier jour

     

     

    09:15-11:00

     

    plénière

     

    session 4 : pour une meilleure protection des droits des migrants

    . Comment élaborer une stratégie commune de protection des droits fondamentaux des travailleurs migrants (réguliers et irréguliers) dans le cadre des conventions internationales?

    Mme Khadidja El Madmad

    (experte)

    Mr Abdelkrim Belguendouz

    (expert)

    . Comment protéger les droits des migrants : lutte contre la xénophobie dans les Etats maghrébins : l’action des associations & ONG

    Mr Khalil Jemmah

    (Président de l’Association des Amis et Familles Victimes de l’Immigration Clandestine, Maroc)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    10:00-11 :30

    Pause café

    11:00-13 :00

     

    plénière

     

     

     

     

    session 5 : la cooperation multilaterale  - propositions concretes de gestion de la migration du travail

    . Les nouvelles orientations de la politique européenne en matière de migration

    Mme Stephania Pasquetti

    (Direction Générale, Justice, Liberté et Sécurité, Commission Européenne)

    . L’expérience de l’OIM dans le Maghreb, et projets à venir

    Mr Stéphane Rostiaux

    (Chargé de projets, Bureau de l’OIM, Rabat)

     

    . Quelques propositions pour une meilleure gestion de la migration de main d’œuvre en Afrique

    Mr Israel Sembajwe

    (Division du Développement Durable, Commission Economique pour l’Afrique)

    débat

     

     

     

    13 :00-14 :00

    Déjeuner

    14 :00-15 :30

     

    ateliers

    session ateliers

    15 :30-16 :00

    Pause café

    16:00-17:30

     

    plénière

    Conclusions et recommandations

    Clôture

     


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  • Le Centre Jacques Berque pour les Etudes en Sciences Humaines et Sociales,
    en partenariat avec l’Institut Français de Rabat et l’Institut  Supérieur  de  l’Information
    et  de  la  Communication

    vous invitent aux conférences de :

    Jérôme VALLUY
    Politiste, Université Panthéon-Sorbonne (Paris 1, France),
    Ancien Juge à la Commission des Recours des Réfugiés (France)

    Sur le thème :
    « Le statut de réfugié : de la vacuité du droit aux contraintes de ses usages sociaux »
    (voir résumé ci dessous)

    et de

    Salvatore PALIDDA
    Sociologue, professeur à l'Université de Gênes (Italie)

    Sur le thème
    "Les paradoxes de la gestion européenne des migrations : les mécanismes de
    la reproduction de clandestins"
    (voir résumé ci dessous)

    le vendredi 21 avril 2006 à 18h30

    Amphithéâtre de l’Institut  Supérieur  de  l’Information
    et  de  la  Communication

    (Avenue  Allal  Al  Fassi, Madinat  Al  Irfane)




    Résumé de la conférence de Jérôme VALLUY

    A la lecture des manuels de droit et des recueils de jurisprudence relatifs au droit d'asile issu de la
    Convention de Genève sur les réfugiés (1951), on pourrait croire qu’il existe une définition claire du
    réfugié et une procédure efficace permettant de l’identifier. Il n’en est rien. L'expérience de la pratique
    juridictionnelle permet de soutenir la thèse inverse: le droit d'asile est vide et le réfugié un concept
    juridiquement indéfini. Cette vacuité qui n'a jamais été comblée ni par le droit international ni par ses
    transcriptions nationales, renforce le poids des contraintes extra-juridiques sur les acteurs chargés de la
    délivrance de ce statut à travers le monde. De ce fait, le "réfugié" n'existe véritablement qu'à travers les
    usages sociaux et politiques d'un droit de l'asile qui relève, comme l’a montré Gérard Noiriel, d'une
    histoire séculaire d'instrumentalisation dans le champ des relations internationales. Cependant, les
    caractéristiques de ce droit en font également un enjeu de plus en plus central aujourd'hui en politique
    intérieure dans la lutte contre les exilés. A cet égard, la mise sur agenda du développement des
    procédures d'octroi du statut de réfugié conventionnel dans les pays du Maghreb s'inscrit à la croisée des
    relations entre l'Europe et l'Afrique et des mutations politiques propres aux pays du Maghreb.

    Liste des publications :
    -"Externalisation européenne de l'asile et recompositions associatives au Maroc (2003-2006) - Les recompositions des réseaux associatifs et religieux  de solidarité avec les exilés en transit au Maroc face aux politiques européennes de lutte contre les exilés par externalisation de l’asile." TERRA-Editions, coll. "Esquisses" (en paraître) .
    - "L’Europe des camps : la mise à l’écart des étrangers" , (Introduction du dossier) Cultures & Conflits , avril 2005, n°57.
    - "La nouvelle Europe politique des camps d’exilés : genèse d’une source élitaire de phobie et de répression des étrangers", Cultures & Conflits , avril 2005, n°57.
    - "La fiction juridique de l’asile", Pleins Droits , décembre 2004, n°63. Article republié en version raccourcie sous le titre "Vrai ou faux réfugiés ?",  revue Espaces Temps (Réfléchir les sciences sociales) - Les Cahiers , n°89/90, 3ème trim. 2005, p.96-103.

    **************
    Résumé de la conférence de Salvatore PALIDDA

    A travers une analyse très détaillée de toutes les données disponibles (en particulier celles de la Court des
    Comptes de certains pays), l'auteur montre que la gestion des migrations en Europe comme par ailleurs
    aux Etats-Unis ne fait que reproduire continuellement d'un coté un nombre toujours plus important de
    "clandestins" et de l'autre coté le jeu de la "porte tournante" par laquelle les migrants s'intègrent dans ou le
    plus souvent sont rejetés de la part des pays européens. Les paradoxes des pratiques européennes de
    gestion des migrations concernent : a) le fait que le développement néo-libéral reproduit les économies
    souterraines demandeuses de main-d'oeuvre sans droits -i.e. clandestins-; b) des dépenses de plus en plus
    importantes pour la soi-disant "guerre" aux migrations clandestines au seul profit des tenants de ce
    business; c) la très faible "productivité" de cette "guerre" (peu d'expulsés, etc.) qui en revanche produit
    nombre de morts parmi les migrants aspirants à l'émancipation; d) l'intégration pacifique effective d'un
    certain nombre de migrants malgré la tentative de traduire le "choc des civilisations" en nouvelle guerre
    aux migrations et même à la "postérité" des migrants comme le proposent non seulement mr. Huntington
    mais aussi quelques personnalité européennes). Enfin, l'auteur cherche à montrer comment la logique de
    cette pseudo-guerre aux migrations frappe aussi une bonne partie des européens autochtones (tout comme
    nombre d'Américains aux Etats-Unis) et ne favorise qu'un développement néo-autoritaire violent.

    Liste de ses publications :
    - Palidda S., chapitres V.2. in Fondazione Ismu (a cura di) Rapporto sulle migrazioni, annate 1995; 1996.
    1997, 1998, 1999, 2000, 2001, 2002, 2003, 2004, 2005
    - Palidda S., The change in the security paradigm in Europe as new practices in citizenship, projet
    "European Liberty and Security. Security Issues Social Cohesion and Institutional Development of
    the European Union" -ELISE (SERD-2002-00124, European Commission, March 2005
    (eliseconsortium.org and http://www.libertysecurity.org).
    - Palidda, L’associazionismo italiano in Francia, dans «Studi Emigrazione», La collettività di origine
    italiana in Europa dagli anni settanta ai giorni nostri, à paraître 2005.
    Palidda, S. (2005), Migration between Prohibitionism and the Perpetuation of Illegal Labour, "History
    and Anthropology", Vol. 16, No. 1, March 2005, pp. 63–73
    - Palidda, S. (ed.) (2000), Socialità e inserimento degli immigrati a Milano, Angeli, Milan.
    - Palidda, S., 2001, Devianza e vittimizzazione tra i migranti, Ismu/Angeli, Milano
    - Palidda, S., a cura di, Délit d'immigration. La construction sociale de la déviance et de la criminalité
    parmi les immigrés en Europe, Bruxelles, COST A2 Migrations-C.E, Bruxelles, 1996 (avec les
    contributions de B. Agozino, H.J. Albrecht, P.

    ______________________________________________

    Pour tout complément d’information veuillez contacter le secrétariat du CJB
    Tél. 00212 37 76 96 91/2 - Fax : 00212 37 76 96 85 - Mail : secretariat@cjb.ma
    Adresse : 35, Avenue Tarik Ibn Ziad. Quartier Hassan – Rabat-Maroc


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  •  Nous vous attendons nombreux, samedi 14 mai, au Centre Culturel de l'Agdal, à 19h, pour vibrer à l'unisson à l'occasion du concert du groupe All Men  : Gospel et chants africains au programme.

    « Amazing grace », « Kwazé », « Nzambi tata », « Oh happy day »... le répertoire de ces choristes de plusieurs nationalités africaines est composé de chants en différentes langues, a capella ou accompagnés de congas et de djembés, représentant à la fois les traditions et les sonorités musicales africaines et la pertinence contemporaine de cet héritage.

     

                 L'objectif de ce concert est de lever des fonds, afin de reverser la totalité des recettes à deux organisations auxquelles nous souhaitons apporter notre soutien : l' AEA (Organisation Internationale d'Aide et Assistance aux Etudiants Africains) et l'AFVIC (Association des Amis et Familles des Victimes de l'Immigration Clandestine). En effet, All Men et Lawnouna, conscients des différentes réalités sociales du Maroc, et du message de sensibilisation et de paix qui peut être véhiculé par la musique, sont convaincus que cette convergence d'actions contribuera fortement à atteindre leurs objectifs communs. Pour Lawnouna, ce sera l'occasion de se mobiliser autour de la question des migrations en l'abordant d'une manière moins habituelle, par l'_expression artistique.

    A samedi soir !

    Billets en prévente et sur place , à 50 DH / 30 Dh pour les étudiants 

    ( préventes disponibles à la cafétéria du Goethe Institut, le Weimar,

    ou auprès de Marie 060 83 12 41, Hamza 064 82 54 94, Yves 065 29 60 37)


    " Toute culture naît du mélange, de la rencontre, des chocs. A l'inverse, c'est de l'isolement que meurent les civilisations." Octavio Paz (Ecrivain Mexicain)

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  • Un rendez vous à ne pas manquer
     
    Table ronde au centre culturel français à Casablanca, le samedi 7 mai 2005, sur la problématique de l'immigration subsahariène au Maroc. La table rond sera organisé en marge de la pièce de théatre "Tombouctou, 52 jours à dos de chameau", réalisée par Ahmed GHAZALI, Artiste marocain qui a fait de l'immigration clandestine son champ de bataille.

    Ahmed Ghazali est né à Casablanca. Il poursuit des études scientifiques au Maroc, puis en France, où exerce le métier d'ingénieur géophysicien, avant de se consacrer à l'écriture dramatique.

    Libération 3 mai 2005 Emilie Poirrier

    Sa première pièce «Le mouton et la baleine» s'élève comme un cri né de l'urgence d'interpeller les consciences sur le douloureux sujet de l'immigration clandestine.

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    En 2003, il co-organise avec Monique Blin la résidence «Voisinages au Maroc» au cours de laquelle il a écrit «Tombouctou, 52 jours à dos de chameau».

    De retour à Casablanca pour la présentation de sa pièce au public, il raconte à Libé l'histoire et l'impact de son «conte d'aujourd'hui»

    Pouvez-vous nous parler de l'histoire de la pièce?

    Cette pièce a beaucoup évolué. Tout commence, il y a deux ans. Je voulais alors raconter l'histoire de la fameuse pancarte «Tombouctou, 52 jours à dos de chameau», et retracer ainsi l'histoire du Sahara, du commerce trans-saharien, au Paris-Dakar, en passant par le colonialisme, le tracé de frontières ridicules, la vie des Touaregs

    Pourtant, cette version restait trop «folklorique», et nécessitait une dramaturgie plus intense.

    Avec l'aide du metteur en scène, Vincent Goethals, j'ai alors décidé d'ajouter un personnage au sénario, «la fille sans nom», une clandestine malienne.

    Deux personnages principaux, la pancarte, jouée par Daisy Amias, et la jeune malienne, Diara Keïta, formaient alors le coeur de la pièce.

    L'histoire devenait plus concrète, et naturellement plus poignante. Elle traite en effet de sujets brûlants d'actualité : à la fois les raisons qui poussent la jeune femme à partir, quitter son pays, et la traversée clandestine, tragique, jusqu'en l'Europe.

    La pièce se situe au moment du retour de la jeune malienne dans son pays. Elle se retrouve face à la pancarte, devant laquelle elle a enterré ses papiers. La pancarte symbolise alors l'identité de la jeune femme, sa mémoire, ses origines, qu'elle avait enfouis au moment de son départ.

    Pourquoi avoir présenté la pièce sous forme de conte ?

    Il s'agit en fait d'un conte «d'aujourd'hui», un conte moderne. Sa forme s'inspire de types multiples d'écriture, du théâtre classique de Shakespeare aux dessins animés.

    Sur scène, il sera joué en musique. La chanteuse griotte malienne Mariétou Kouyaté, le comédien-musicien marocain Jamal Nouman, et le congolais Gaétan Faïk participeront à la mise en scène musicale.

    Détresse africaine, immigration clandestine Pourquoi avoir choisi de traiter ces thèmes ? Est-ce une manière pour vous de sensibiliser le public, notamment les plus jeunes, au drame de l'immigration clandestine?

    Effectivement, notre projet souhaite sensibiliser le public, et les jeunes à ces sujets. Les deux représentations scolaires s'inscrivent dans cette volonté. L'immigration est un sujet qui me tient particulièrement à coeur. J'ai moi-même immigré en Europe, pendant plus de 15 ans, j'ai rencontré là-bas de nombreux clandestins, et je suis très sensible à ce problème.

    Parallèlement, vous animez une rencontre-débat autour du thème «être africain au Maroc». Quels sont vos sentiments à cet égard ?

    La première chose, c'est la difficulté pour les étrangers de se sentir chez eux au Maroc. Différentes barrières (linguistiques, religieuses ) entrent en jeu, pour rapprocher, ou au contraire, éloigner les immigrants des marocains. Mais d'une manière générale, les subsahariens souffrent au Maroc du manque d'accueil, et du racisme. Ce phénomène est lié à mon avis à la question de l'éducation. Un énorme effort doit être réalisé à cet égard, afin d'enseigner aux jeunes générations la tolérance.

    Êtes-vous optimiste?

    Oui. Le Maroc a construit une partie de son histoire avec l'Afrique subsaharienne. Sa culture s'est nourrie de ce métissage, au fil des siècles. Il faut dorénavant se battre contre l'ignorance et le racisme par l'éducation.

    La mise en scène de la pièce réunit des acteurs des quatre coins du monde : Maroc, Canada, France, Congo, Mali Etait-ce important pour vous ce partenariat Nord-Sud ?

    C'était même fondamental. La pièce est née d'un partenariat entre l"Kingdom of Heaven" : Le fanatisme selon Ridley Scott

    e Québec, la France, et le Mali, autour du thème des «migrations». Mon théâtre s'inspire du métissage, de la cohabitation des cultures dans un espace ouvert. La pièce «Tombouctou» se conjugue d'ailleurs dans de nombreuses langues : anglais, espagnol, wolof, arabe Car il reflète cette réalité de partage et de dialogue des communautés.

    Que représente pour vous le fameux panneau «Tombouctou, 52 jours à dos de chameau»?

    Ce panneau symbolise une sorte d'âge d'or du Sahara, et attend les expériences de retour des migrants dans leur pays natal. Un retour digne et riche. Moi-même, j'ai quitté le Maroc, et j'y suis revenu, afin d'y jouer un rôle. Je pense qu'on ne peut faire l'impasse sur ce retour, sans sacrifier une partie de soi, de son identité. Dans la pièce, la jeune malienne est «la fille sans nom», elle a laissé au cours de son périple son identité, ne sait plus qui elle est.

    Quant à la question du départ, on oublie trop souvent le rôle de l'immigré lui-même. Certes, les pays du Sud, souvent pointés du doigt, n'offrent pas toujours un avenir digne à leurs enfants, et précipitent l'hémorragie humaine. Les pays du Nord, en fermant obstinément leurs frontières, participent aussi aux drames de l'immigration clandestine.

    Pourtant, il y a un troisième acteur, trop souvent oublié, c'est l'homme, l'immigré, qui décide de sa propre vie et de son destin.


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  • Cabinda (Angola), 28/04 - Un colloque sous le thème "l`immigration clandestine-un phénomène, quelles conséquences pour l`avenir du pays" se déroule depuis le 26 avril dernier dans le cadre du programme des activités de la journée nationale du ministère public en Angola.

    La rencontre qui a pour orateur, le procureur local, Pascoal António Joaquim, est destinée aux agents des services de migration et de l`ordre public, aux officiers supérieurs et soldats ainsi qu`aux responsables consulaires accrédités dans la région de Cabinda, notamment ceux de la République du Congo-Brazzaville et de la RDCongo.

    Au début du forum, mardi dernier, Pascoal Joaquim a abordé les divers thèmes, notamment le ministère public, l`activité durant la période de guerre, les trois années de paix, les perspectives ainsi que le phénomène religieux et ses implications.


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