• « Rapport du CCDH : Objectif manqué »

    Communiqué de l'AFVIC


    « Rapport du CCDH : Objectif manqué »

     

    Communiqué de l'AFVIC « Rapport du CCDH : Objectif manqué » A l'occasion de la commémoration du deuxième anniversaire funèbre des évènements de Ceuta et Melilla, l'AFVIC rend public une critique du rapport du Conseil Consultatif des Droits de l'Homme (CCDH) relatif aux faits de septembre et octobre 2005. L'AFVIC reconnaît le caractère innovant d'une telle initiative pour un pays dans lequel la culture de la commission d'enquête, officielle et publique, n'existe pas. Pourtant, ce rapport qui avait pour objectif de souligner les manquements aux Droits de l'Homme survenus lors du drame de Ceuta et Melilla, est passé à côté de sa finalité : loin de stigmatiser le comportement des forces de sécurité marocaines, les auteurs du rapport essaient non seulement de justifier ce qui s'est passé, mais encore tentent de présenter le Maroc comme victime et bouc émissaire

    Communiqué de l'AFVIC
    « Rapport du CCDH : Objectif manqué »



    A l'occasion de la commémoration du deuxième anniversaire funèbre des évènements de Ceuta et Melilla, l'AFVIC rend public une critique du rapport du Conseil Consultatif des Droits de l'Homme (CCDH) relatif aux faits de septembre et octobre 2005. L'AFVIC reconnaît le caractère innovant d'une telle initiative pour un pays dans lequel la culture de la commission d'enquête, officielle et publique, n'existe pas. Pourtant, ce rapport qui avait pour objectif de souligner les manquements aux Droits de l'Homme survenus lors du drame de Ceuta et Melilla, est passé à côté de sa finalité : loin de stigmatiser le comportement des forces de sécurité marocaines, les auteurs du rapport essaient non seulement de justifier ce qui s'est passé, mais encore tentent de présenter le Maroc comme victime et bouc émissaire.


    Introduction


    Suite aux évènements de Ceuta et Melilla qui ont fait une dizaine de morts en septembre et octobre 2005, le Conseil Consultatif des Droits de l'Homme (CCDH) marocain vient de publier un Rapport sur « l'établissement des faits relatifs aux évènements de l'immigration illégale ». Ce document s'est donné pour objectif non pas de juger les auteurs mais de restituer la véracité des faits, dans le but de mettre en exergue les violations avérées des Droits de l'Homme pendant et suite au drame de Ceuta et Melilla.


    Les évènements de Ceuta et Melilla


    Pour ce qui est des évènements de Ceuta et de Melilla en tant que tels, le CCDH a pris le parti de les évoquer de façon superficielle. Ainsi, le rapport se contente en substance des deux séries d'informations suivantes. Il rappelle d'une part, que dans la nuit du 28 au 29 septembre 2005 à Ceuta, 500 migrants ont tenté de pénétrer par force l'enclave espagnole, faisant deux morts de chaque côté et de nombreux blessés. Concernant les deux morts décédés suite à l'usage d'une arme à feu par des éléments de la sécurité marocaine, il est uniquement précisé leur nom, leur nationalité et le fait que depuis « une enquête judiciaire est ouverte » (p.26). D'autre part, le rapport précise aussi que dans la nuit du 5 au 6 octobre 2005 à Melilla, des assauts tout aussi massifs se sont produits : « on évoquera des tirs dont on ignore l'origine, espagnole ou marocaine, et on parlera de six morts et de nombreux blessés » (p. 11). Quant aux détails sur la réaction des forces de sécurité, le rapport mentionne simplement qu' « elle a été frappée du sceau de la réactivité, de l'improvisation, voire de la panique » (p.18). Le nombre exact des morts, leur identité, les circonstances du décès, l'origine des tirs, les procédures judiciaires engagées, bref, tout ce dont on est en droit d'attendre d'un rapport voulant dénoncer les violations des Droits de l'Homme n'est pas précisé. Les conditions de refoulement terrestre Pour ce qui est des conditions de refoulement vers l'Algérie faisant suite aux évènements de Ceuta et Melilla, aucun manquement aux Droits de l'Homme n'est dénoncé. Les auteurs n'ont pas peur de se contredire : alors qu'il est écrit qu'il s'agissait « dans la majorité des cas d'opérations de retour librement consenti » (p.29), ils continuent quelques lignes plus tard en écrivant que « lorsque dans certains endroits les clandestins sont devenus plus nombreux que les nationaux alors il était du devoir des autorités de mettre bon ordre » (p.30). Par ailleurs, loin d'insister sur le fait que les migrants n'ont pas tous eu droit à un jugement et qu'ils ont été abandonnés à leur sort dans une zone semi-désertique, les rédacteurs estiment que les opérations de refoulement se sont passées de la meilleure manière possible. Pire encore, ils pensent trouver une excuse pour les agissements du gouvernement marocain arguant que la pratique des refoulements est « habituelle pour les autorités dans ces régions » (p.30) ! Alors que d'après les informations révélées par la mission d'enquête menée par l'AFVIC et la Cimade lors de ces mêmes évènements, la zone de Aïn Chouater, là où ont été abandonnés les migrants refoulés, est un véritable no man's land à une nuit de marche de la frontière marocaine. L'AFVIC et MSF ont d'ailleurs pu entrer en contact téléphonique avec un groupe de personnes, qui a pu se repérer uniquement à l'aide d'une antenne de téléphone ; quand les associations ont voulu acheter des vivres à Aïn Chouater, les réserves du village n'ont pas suffi. Preuve encore que le discours du CCDH est loin d'être en adéquation avec la réalité., Communiqué de l'AFVIC « Rapport du CCDH : Objectif manqué »



    Les conditions de rapatriement par avion

    En ce qui concerne les cas de rapatriement par avion vers les pays d'origine, le rapport parle d'une « opération coûteuse mais irréprochable » qui s'est déroulée « dans les règles les plus absolues de dignité et de respect des individus ainsi que des divers engagements internationaux » (p.32). Premièrement, le rapport ne mentionne pas que toutes ces personnes ont été arrêtées suite à des rafles massives non seulement au niveau de la frontière espagnole, mais aussi dans tout le pays et notamment dans les zones urbaines. Deuxièmement, étant donné qu'aucun migrant subsaharien n'a été rencontré par les membres du CCDH, on peut mettre en doute cette assertion, notamment lorsqu'il est écrit qu' « une grande partie des subsahariens étaient décidés voire contents de rentrer définitivement chez eux » (p.32). Certes, d'après les informations dont dispose l'AFVIC, certains migrants avaient émis le souhait de rentrer chez eux, mais ce n'était certainement pas la majorité : il y a bien eu des retours forcés.


    Les réfugiés


    Pour ce qui est de la question des réfugiés, les auteurs du rapport reconnaissent que certains subsahariens refoulés étaient demandeurs d'asile ou réfugiés reconnus auprès du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) au Maroc. D'une part, des faits très graves sont mentionnés dans le rapport concernant la procédure de demande d'asile : il est écrit que les autorités marocaines, contactées par le HCR, diligentent une enquête sur la personne demandant l'asile auprès des autorités consulaires du pays dont elle ressort. Ce qui en soi représente une grave atteinte aux droits des demandeurs d'asile : cela est contraire à toutes les règles, puisque le demandeur requiert précisément la protection d'un pays autre que le sien. D'autre part, la procédure de demande d'asile qui est décrite dans le rapport n'est plus appliquée depuis 2005 : elle a été entièrement revue, et est aujourd'hui indépendante de tout organe gouvernemental. En outre, plutôt que d'insister sur la violation flagrante du principe de non-refoulement stipulé dans la Convention de 1951 sur les réfugiés, le rapport préfère mettre en exergue les insuffisances du HCR au Maroc. En définitif, il ressort de l'entretien avec un des rapporteurs que le CCDH n'a pas su se doter d'un véritable spécialiste de la question migratoire pour mener à bien la commission d'enquête.


    Lacunes du rapport



    On ne peut donc que regretter la faible densité des informations révélées dans ce rapport. Ceci trouve son explication dans une série de raisons dont la commission d'enquête est elle-même consciente. Premièrement, le manque de réactivité est déroutant : le rapport intervient 18 mois après le déroulement des faits. Deuxièmement, les membres du CCDH ne se sont pas déplacés à Ceuta, un des deux lieux de la tragédie, et ceci « pour des raisons d'agenda » (p.16). Troisièmement, pas un seul migrant subsaharien n'a été interviewé, le rapport précisant qu' « il n'y en avait presque plus » (p.15). Par ailleurs, quasiment aucune source n'est citée, ce qui est particulièrement problématique en matière de chiffres. Toutes ces insuffisances nuisent gravement à la crédibilité du rapport et au-delà au CCDH lui-même, et laissent à penser qu'une seule voix a eu droit au chapitre, à savoir celle du gouvernement. Communiqué de l'AFVIC « Rapport du CCDH : Objectif manqué »

    Un rapport complaisant


    Comme pour trouver des excuses à la réaction disproportionnée des forces de sécurité marocaines, le rapport insiste sur deux idées. D'une part, si le caractère massif et concerté des tentatives de septembre et octobre 2005 était nouveau, la technique de l'assaut des grillages barbelés des enclaves espagnoles était quant à elle une pratique courante et personne ne s'en était jamais indigné. Un argument loin d'être solide puisque ce n'est pas parce que cette pratique existait qu'elle pouvait pour autant perdurer. D'autre part, selon la commission d'enquête, les assauts auraient pris un caractère sophistiqué, laissant soupçonner une « organisation de type militaire avec un état-major sommaire » (p.41), ce qui pourrait trouver une explication dans l'arrivée de nouveaux migrants subsahariens venant de pays en guerre et ayant côtoyé les techniques de combat. Sur ce point, l'AFVIC dispose d'informations sûres, tirées de la mission qu'elle a menée en octobre 2005 : les assauts massifs seraient au contraire le résultat d'un désordre dû à la disparition subite d'un des chairmans (leader de la communauté). Après entretien avec un des rapporteurs du CCDH, il s'est avéré que cette hypothèse d'un assaut concerté n'était en fait que le fruit d'une « déduction personnelle » qui avait été érigée au rang de vérité. Ensuite les auteurs tentent de justifier l'intervention du royaume dans la lutte contre l'immigration clandestine. En fait, si le Maroc est concerné par cette lutte, ce serait uniquement dans le but de renforcer sa sécurité intérieure ainsi que celle de la région ; il est par ailleurs écrit qu'à aucun moment le Maroc n'a « joué le rôle de gendarme pour le compte des pays européens » (p. 6). Une question légitime se pose toutefois. Comment expliquer cette phrase du préambule – et c'est la seule phrase surlignée en gras de tout le rapport : « Sans le concours et la volonté de l'Etat marocain, ces murs ne tiendraient pas une semaine ». Un membre du CCDH avouera en aparté à l'AFVIC que le Maroc est bien le gendarme de l'Europe « par la force des choses ».


    Le Maroc comme bouc émissaire


    Plus encore, ce rapport pose le Maroc comme une victime à triple titre. D'abord, le pays aurait été victime du déchaînement médiatique. Les rédacteurs dénoncent en effet un véritable « tsunami médiatique » (p.42) : les images des assauts, issues pour l'essentiel des caméras infrarouges espagnoles de surveillance, ont attiré non seulement les médias internationaux mais aussi de nombreuses ONG qui se sont indignées du sort réservé aux migrants subsahariens. Ainsi, selon les membres du CCDH, le Maroc s'est trouvé aux yeux de l'opinion publique internationale comme « le coupable tout désigné pour sa gestion des évènements », n'hésitant pas à qualifier le Maroc de « bouc émissaire » (p. 13). Le royaume serait également victime de la politique migratoire répressive de l'Union Européenne. En effet, le rapport stipule que le drame de Ceuta et Melilla demeure structurellement le « résultat de la volonté européenne d'externaliser le traitement des migrants » (p. 9) et que de ce point de vue les pays du Nord font preuve d'un « égoïsme forcené quant aux conséquences dramatiques de leur politique » (p.17). Ainsi, et à ses dépens, le Maroc est devenu le « vigile obligé de la frontière sud de Schengen » (p. 9), devenant par ce biais une énorme salle d'attente. Or toujours selon le rapport, le Maroc n'est « pas apte à accueillir une population étrangère » (p. 7) pour laquelle il n'aurait ni travail ni richesse. Enfin, le pays serait victime de la politique géostratégique de son voisin algérien. En effet, les membres du CCDH estiment qu' « il n'y a pas beaucoup de risque de se tromper en affirmant que l'Algérie n'hésite pas à instrumentaliser la question des migrants clandestins avec pour objectif de poser des difficultés au Maroc » (p. 7). Le rapport estime en effet que l'Etat algérien entend « brouiller le Maroc avec ses amis africains traditionnels. Le tout avec pour arrière plan la question du Sahara marocain » (p. 8). Communiqué de l'AFVIC « Rapport du CCDH : Objectif manqué »


    Points positifs du rapport


    Pour autant, les auteurs du rapport semblent bien percevoir les enjeux profonds qui découlent des évènements dramatiques de Ceuta et Melilla. Le CCDH insiste avec raison sur le fait que les causes profondes de ce drame sont à chercher dans « le différentiel de développement entre deux continents » (p. 5). Il n'est donc pas faux que la gestion des évènements de Ceuta et Melilla ne saurait relever de la seule responsabilité du Maroc. De même, les membres du Conseil ont raison quand ils estiment qu'il est « illusoire de compter sur la seule politique sécuritaire » (p. 6). Les membres du CCDH somment donc urgemment l'Europe d'avoir une stratégie globale sur la problématique des migrations, qui doit passer par un véritable partenariat dans le respect de la souveraineté nationale de tous les pays concernés, ce en quoi l'AFVIC les rejoints. Par ailleurs, les recommandations énumérées à la fin du rapport sont pour la plupart pertinentes. L'AFVIC estime en effet également que le Maroc se doit de multiplier ses efforts pour honorer ses engagements internationaux ; qu'il est nécessaire de réviser et de faire appliquer les lois relatives au droit d'asile tout en veillant à leur harmonisation avec les normes internationales en vigueur ; que les pouvoirs publics doivent mettre en place des campagnes de lutte contre toutes les formes de discrimination raciale ; et que le gouvernement marocain doit favoriser la délégation à la société civile du traitement humanitaire de certaines situations.


    Conclusion


    L'AFVIC reconnaît le caractère innovant d'une telle initiative pour un pays dans lequel la culture de la commission d'enquête n'existe pas encore. Pourtant, ce rapport qui avait pour objectif de souligner les manquements aux Droits de l'Homme survenus lors du drame de Ceuta et Melilla est passé à côté de sa finalité. Les rapporteurs se contentent en effet de parler de « gestion malencontreuse » des évènements due à une « forme de panique et d'inexpérience » (p.41), sans dénoncer précisément les violations avérées des Droits de l'Homme. En fait, loin de stigmatiser le comportement des forces de sécurité marocaines, les auteurs du rapport essaient non seulement de justifier ce qui s'est passé, mais encore tentent de présenter le Maroc comme victime et bouc émissaire. Force est de constater toutefois que ces manquements ne résultent pas forcément d'une volonté délibérée de masquer la vérité, mais plus simplement de l'inexpérience du CCDH dans ce genre d'exercice.



  • Commentaires

    1
    Dimanche 29 Novembre 2009 à 17:26
    une décla&ration
    Nous BONJOUR et merci de votre amabilité. , étions des anciens membres d’une organisation d’un parti de la résistance marocaine nommée « Monadamat Abnaa Mohamed Elkhamis créé en 1954».Nous étions les sacrifiant, notre cause était : combattre le colonialisme qui avait exilé le roi légitime Mohamed ben Youssef et la liberté du royaume. Malheureusement après la victoire, le retour du sultan à son trône, l’indépendance du pays.et la création du premier gouvernement, nous étions la victime ciblée d’un comité exécutif d’un parti politique unique et autoritaire qui nous avait accusé d’une bande de criminels armés et très dangereux contre le régime et le trône. A la place d’une considération c’était des assassinats, des kidnappings, des arrestations, des tortures à mort, des disparitions des corps, des emprisonnements et des transferts de prison en prison sans jugement ni condamnation. Par miracle et par le courage de nos mères qui avaient fait la grève de faim trois jours et trois nuits devant le palais royal pour dire au sultan que leurs enfants ne sont que des mineurs qui ont donné leur vies pour son retour et la liberté du royaume .Quand le roi avait connu toute la vérité ,il avait donné son ordre obéissant et autoritaire pour nous libérés .En 2004 nous avions déposé nos dossiers comme tous ceux qui étaient mal traités et déprimés au bureau de l’instance, équité et réconciliation, sans aucune réponse ? .En 2007 nous avions traduit le journal d notre organisation en un ouvrage de 32 chapitres et 165 pages . Nous avions confié ce livre à un cadre administratif au bureau du C.C.D.H Mr Moussadak Abdelhak qui l’avait confisqué. Par bonheur l’établissement lulu à Londres l’avait publié et imprimé par sa maison d’édition sous le titre Evénements choc de 1947à 56 : livre NOUR ou les jours ambigus. Nous dépassions les 73 ans et nous sommes que des retraités sans défense. Ce message pour nous est une déclaration pour demander justice .Notre émail «
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    Vendredi 5 Février 2010 à 15:26
    UNE REMARQUE
    Bonjour à toutes et tous et merci de vos attentions .Nous nous adressons à tous ceux qui désirent connaitre les aventures des jeunes indolécents des années cinquante de leurs participations pour combattre les colons qui ont exilé leur père spérituel le roi sidi Mohamed benYoussef,l'indépendance du royaume jusqu'à la victoire ,le retour du sultan à son trone et la liberté du pays .Pour mieux connaitre la vrai histoire des fidaynes du derb sultan dont la grande partie était des mineurs moins de 20 ans,il faut lire le journal de l'ex organisation Monadamat Abnaa Mohamed Elkhamis transformé en un livre publié ,édité et imprimé par la maison d'édition LULU.COM à Londres en Angleterre ,il se vend par commande sur l'internet.
    3
    Samedi 6 Février 2010 à 15:56
    juste un rappel
    Bonjour tout le monde et merci de vos soutiens. Juste pour un rappel .Les émotions des années 1947-52-53-54-55 et surtout les boucheries des mois ambigus de 1956 étaient le gain, la rémunération et la considération pour>>après la liberté du royaume et le retour du père spirituel le roi Mohamed ben Youssef à son trône et l’indépendance du royaume. Ces deux réseaux étaient le cauchemar du Colonialisme, puisqu’ils étaient les enfants des armes et non les enfants de la pierre. Nous les membres de l’ex Monadamat Abnaa Mohamed Elkhamis
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    Lundi 15 Février 2010 à 15:20
    rapel
    Il y avait dans le royaume un grand nombre de citoyens qui posentla mème question comme ce ci :est ce qu'il avait que ceux qui ont été arrèté dans des émeute de bénificier de la réconciliation en oubliantles vrais fidayines qui ont libéré le royaume du colonialisation et qui ont passé des souffrance trés pénible ,alors qu'ils ne sont que des mineurs de 19 et 20 en 1956 ans.C'etait le temps du premier gouvernement .voir forum Monadamat Abnaa Mohamed Elkhamis
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    Jeudi 25 Mars 2010 à 15:57
    ou se trouve la démocratie chez le c.c.h.d et l'i.e.r
    Nous les sacrifiants combattants pour le retour du roi exilé en 1953 par le colonisation ;; MOHAMED BEN YOUSSEF que le bon DIEU le repose dans le paradis Elfardawss, ainsi que la victoire de l’indépendance du royaume ,depuis 1956, nous avions gardé un grand secret d’une grande souffrance alors que nous étions que des mineurs sans les 21 ans. Les tortures que nous avions subit des bourreaux du commissariat du 7éme arrondissement du derb el baladia dépassent totalement celles de la gestapo Allemand en 1945 .Nous étions les premiers victimes du premier gouvernement, opprimés, nos camarades kidnappés assassinés disparus emprisonnés par ordre d’un comité exécutif d’un parti politique unique et autoritaire à l’époque rien que pour s’emparer de tout le pouvoir. Le jour ou le feu Sultan Hassan deux Dieu le loge dans ses vastes paradis, avait signalé l’ouverture du bureau du droit de l’homme une fenêtre de l’espoir nous était ouverte pour demander justice. Aussi la grande joie c’était le jour ou sa majesté Mohamed six Dieu le glorifié avait annoncé la création du bureau : Instance. Equité et Réconciliation nous avions cru que nos dossiers seront pris en considération puisque nous sommes dans un pays de liberté et de justice. Presque 54 ans de silence ,d’attente et le journal de notre organisation fermé dans un terroir en attendant sa sortie pour voir la lumière .Malheureusement ni l’i.e.r ;; ni le c.c.d.h n’ont pas voulu étudier notre déclaration. Notre journal transformé en un ouvrage était confisqué pour cacher cette vérité.
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    ZIKILA
    Jeudi 8 Avril 2010 à 19:00
    une très longueattente
    Bonjour à vous toutes et tous et merci de vos amabilités et compréhensions. Nous sommes des anciens membres sacrifiants d’une ex organisation secrète d’un parti de la résistance marocaine crée en 1954 pour combattre le colonialisme qui avait exilé notre père spirituel S.M le sultan Mohamed ben Youssef que le bon DIEU l’habite dans le paradis Elfardaous ainsi la liberté du royaume du Maroc .Nous avions gardé un secret d’une grande souffrance très douloureuse et pénible alors que nous sommes que des mineurs sans les 21 ans.En1956 après le retour du sultan à son trône , la liberté du royaume et la création du premier gouvernement, nous étions récompensés d’une souffrance cicatrisée par des tortures qui avait marquée toutes nos vies , subit des bourreaux du commissariat du 7eme arrondissement au derb Elbaladia à la nouvelle midina..C‘était plus atroce et plus sure qui, dépassent les tortures de la gestapo en Allemagne en 1945. Nous étions les premières victimes opprimées d’un premier gouvernement marocain.Nous et nos camardes de l’organisation >nous étions les cibles des kidnappings,des assassinats,des disparussions,des arrestations à tord et des emprisonnements sans condamnations ni jugement..C’était l’ordre d’un comité exécutif d’un parti politique unique et autoritaire en 1956 rien que pour s’emparer du pouvoir.Lejour ou S.M feu roi Hassan deux que dieu le loge dans ses vaste paradis, avait adormé l’ouverture du bureau du droit de l homme , nous avions cru qu’une fenêtre d’espoir est ouverte pour nous demandions une justice ; aussi que la grande joie c’était le jours ou sa majesté le roi sidi Mohamed six que dieux le glorifié , avait annoncé la création du bureau de l’instance équité et réconciliation ; nous avions imaginé que nos dossiers déposés en 2004/2005 seront pris en consécration puis que nos sommes des libérateurs dans un pays de liberté et de justice. Presque 54 ans de silence , d’attente et des isétations que le journal confidentiel de notre organisation « monadamat abnaa Mohamed elkhamis » était fermé dans un terroir en attendant sa sortie pour voir la lumière. En 2007 nous l’avions transformé en un ouvrage de 32 chapitres et 165 pages son, titre est Les Evénements Choc de 1947- 52-53-54-55-56ou les jours ambigus de 1956 .Avant qu’il soit édité, publié et imprimé par la maison d’édition LULU.com à Londres en Angleterre, nous avions confié un exemplaire à un cadre administratif du C.C.D.H à rabat qui l’avait confisqué sans aucune raison c’est pourquoi nous avions lancé des appels de secours à tous les défendeurs et les observateurs qui défendent le droit des opprimés pour pouvoir obtenir justice. émail
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    ZIKILA NOURI
    Mercredi 14 Avril 2010 à 20:24
    UN APPEL
    Bonjour .Nous lançons un appel à tous ceux estiment porter de l’aide à des opprimés qui non pas dépassés les 21 années en .1956 contre le C.C.D.H et l’I.E.R. Aujourd’hui ils dépassent les 74 ans .Torturés, soufferts .Ils avait passés plus de 20 jours dans des moments atroces, pénibles et inhumains par les bourreaux du commissariat du 7 ème arrondissement au derb baladia à la nouvelle médina. C’était l’ordre donné par le premier gouvernement composé des membres d’un parti politique unique et autoritaire en 1956. Ils nous avaient accusés pour une bade de criminels très dangereux et armés contre le régime et le trône et dire que nous étions les sacrifiants, fils d’un père spirituel S.M le sultan du Maroc sidi Mohamed ben Youssef exilé par la colonisation en 1953 .Nous avions donné à notre organisation le nom de .voir notre site >
    8
    Mardi 22 Juin 2010 à 19:40
    nous les victimes du temps
    Un appel ::: Bonjour tout le monde : nous les victimes du temps survivants des boucheries des jours ambigus en 1956, nous adressons des messages à tous les défendeurs et les observateurs du droit des hommes opprimés et torturés contre les deux administrations le C.C.D.H qui ont confisqué notre manuscrit du journal de notre organisation fondée en1954 pour combattre les occupants qui ont exilé notre père spirituel Sidi Mohamed ben Youssef en1953 DIEU le loge dans ses vastes paradis,ainsi que le bureau de l’I.E.R qui ont mis nos dossiers complets avec numéro de dépôt et accusé de réception dans leur corbeille depuis 2004/2005.Tout ce que nous demandons c’est une réconciliation avant de quitté ce monde nous dépassons les 74 ans, beaucoup de nos camarades étaient décédés durant cet attente .Ce n’est pas juste dans un pays de démocratie et de justice le royaume du Maroc de maltraiter des sacrifiants qui ont lutté contre le colonialisation et participé pour l’indépendance du royaume .Nous confions notre plainte à tous ceux qui défendent le droit de l’homme .visitez notre site>.
    9
    Mardi 22 Juin 2010 à 19:43
    nous les victimes du temps
    Un appel ::: Bonjour tout le monde : nous les victimes du temps survivants des boucheries des jours ambigus en 1956, nous adressons des messages à tous les défendeurs et les observateurs du droit des hommes opprimés et torturés contre les deux administrations le C.C.D.H qui ont confisqué notre manuscrit du journal de notre organisation fondée en1954 pour combattre les occupants qui ont exilé notre père spirituel Sidi Mohamed ben Youssef en1953 DIEU le loge dans ses vastes paradis,ainsi que le bureau de l’I.E.R qui ont mis nos dossiers complets avec numéro de dépôt et accusé de réception dans leur corbeille depuis 2004/2005.Tout ce que nous demandons c’est une réconciliation avant de quitté ce monde nous dépassons les 74 ans, beaucoup de nos camarades étaient décédés durant cet attente .Ce n’est pas juste dans un pays de démocratie et de justice le royaume du Maroc de maltraiter des sacrifiants qui ont lutté contre le colonialisation et participé pour l’indépendance du royaume .Nous confions notre plainte à tous ceux qui défendent le droit de l’homme .visitez notre site>.
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    Samedi 3 Juillet 2010 à 13:40
    les victimes du temps
    Un appel ::: Bonjour tout le monde : nous les victimes du temps du premier gouvernement après l’indépendance du Maroc, survivants des boucheries des jours ambigus en 1956, nous adressons des messages à tous les défendeurs et les observateurs du droit des hommes opprimés et torturés contre les deux administrations le C.C.D.H qui ont confisqué notre manuscrit du journal de notre organisation fondée en1954 pour combattre les occupants qui ont exilé notre père spirituel Sidi Mohamed ben Youssef en1953 DIEU le loge dans ses vastes paradis,ainsi que le bureau de l’I.E.R qui ont mis nos dossiers complets avec numéro de dépôt et accusé de réception dans leur corbeille depuis 2004/2005.Tout ce que nous demandons c’est une réconciliation avant de quitté ce monde nous dépassons les 74 ans, beaucoup de nos camarades étaient décédés durant cet attente .Ce n’est pas juste dans un pays de démocratie et de justice le royaume du Maroc de maltraiter des sacrifiants qui ont lutté contre le colonialisation et participé pour l’indépendance du royaume .Nous confions notre plainte à tous ceux qui défendent le droit de l’homme .visitez notre site>.émail ::monadamat.abnaamed5@gmail.com>>>>>>>>>>>
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    Mardi 12 Octobre 2010 à 16:18
    Reconaissace & Remerciement
    Remerciements et Reconnaissance Nous les anciens membres de l’ex organisation des sacrifiants ; torturés, opprimés et échappés à la mort des boucheries du temps de plomb en 1956. Nous remercions de tous nos cœurs les personnes de la commission de l’union européenne qui ont rendu visite au Maroc le 05 octobre pour demander au C.C.D.H et l’I.E.R de bien vouloir leur préparer des comptes rendus sur l’histoire des opprimes et torturés à tord depuis 1956 à 1990. Nous félicitons cette noblesse et ce geste humain qui nous donne de l’espoir que le bureau de l’I.E.R ouvrira nos dossiers de conciliation. Les membres l’ex organisation monadamat abnaa mohamed elkhamis. Nouri Soufi Fakir Choukri Bouzakri Fakir Soufi Nouri Bouzakri Choukri Membres de l’organisation secrète Monadamat Abnaa Mohamed elkhamis en 1954 des mineurs et en 2010 des vieillards.Victimes du temps de plomb. Ils avaient échappé à la boucherie des jours ambigus commise par les bourreaux du commissariat du 7ème arrondissement au derb Baladia en 1956.Voir site www.belhoussine.jimdo.com
    12
    Mercredi 9 Mars 2011 à 18:32
    chez qui se trouve une justice
    D epuis 1956, nous cherchions une justice. Toute personne a droit en pleine égalité à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par des éminents experts de la défense des hommes torturés. Nous les membres de l’ex organisation secrète des sacrifiant nous étions opprimés et torturés il y avait à peine quelques mois du début de l’indépendance du royaume en 1956.Nous et nos camarades du>, nous étions les cibles des membres d’un comité exécutif du parti politique unique et autoritaire à cet époque pour nous exterminer. Ils avaient employés des kidnappings, des assassinats, des corps des victimes disparus, des emprisonnements et tortures très souffrantes et inhumaine par des bourreaux au commissariat 7eme arrondissement au derb el baladia, les transferts dans des différentes prisons du royaume sans jugement ni condamnation. Nous remercions le Bon Dieu Tout Puissant et la sagesse de notre père spirituel le roi sidi Mohamed ben Youssef que le Bon Dieu le loge dans ses vastes paradis qui avait donné son ordre autoritaire et obéissant pour nous libérer sans être jugé après six mois de souffrance dans l’isolement. C’était quand il avait connu toute la vérité et que nous étions les vrais sacrifiant et les héros de la liberté du royaume, au lieu du motif : une bande de criminels très dangereux armés contre le régime et le trône, la vérité c’est que nous étions une organisation secrète créée au mois de février 1954 pour combattre le colonialisme. Sincèrement quelle confiance aurons-nous en ces politiciens qui maintiennent cette haine depuis 54 ans et en ce temps de la démocratie, de la transparence et la justice, leurs successeurs surtout au c.c.d.h et l’i.e.r, leurs options c’est l’intérêt personnel sans connaître l’intérêt général. Il y avait toutes ces années que nous demandions justice sans trouver une oreille qui puisse nous entendre malgré tous nos réclamations et nos plaintes. Pourquoi l’I.E.R accepte-il nos dossiers des demandes de conciliation sans les étudier et le C.C.D.H qui confisque notre premier exemplaire de notre journal de l’organisation transformé en un manuscrit de 32 chapitres et 165 pages avant qu’il soit édité et imprimé par la maison d’édition LULU.com à Londres en Angleterre a été confisqué par un membre du C.C.D.H ?sans que nous connaissions la raison. www.monadamat abnaa mohamed elkhamis .http://belhoussine.jimdo.com
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    Mercredi 9 Mars 2011 à 18:35
    chez qui se trouve une justice
    Depuis 1956, nous cherchions une justice. Toute personne a droit en pleine égalité à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par des éminents experts de la défense des hommes torturés. Nous les membres de l’ex organisation secrète des sacrifiant nous étions opprimés et torturés il y avait à peine quelques mois du début de l’indépendance du royaume en 1956.Nous et nos camarades du>, nous étions les cibles des membres d’un comité exécutif du parti politique unique et autoritaire à cet époque pour nous exterminer. Ils avaient employés des kidnappings, des assassinats, des corps des victimes disparus, des emprisonnements et tortures très souffrantes et inhumaine par des bourreaux au commissariat 7eme arrondissement au derb el baladia, les transferts dans des différentes prisons du royaume sans jugement ni condamnation. Nous remercions le Bon Dieu Tout Puissant et la sagesse de notre père spirituel le roi sidi Mohamed ben Youssef que le Bon Dieu le loge dans ses vastes paradis qui avait donné son ordre autoritaire et obéissant pour nous libérer sans être jugé après six mois de souffrance dans l’isolement. C’était quand il avait connu toute la vérité et que nous étions les vrais sacrifiant et les héros de la liberté du royaume, au lieu du motif : une bande de criminels très dangereux armés contre le régime et le trône, la vérité c’est que nous étions une organisation secrète créée au mois de février 1954 pour combattre le colonialisme. Sincèrement quelle confiance aurons-nous en ces politiciens qui maintiennent cette haine depuis 54 ans et en ce temps de la démocratie, de la transparence et la justice, leurs successeurs surtout au c.c.d.h et l’i.e.r, leurs options c’est l’intérêt personnel sans connaître l’intérêt général. Il y avait toutes ces années que nous demandions justice sans trouver une oreille qui puisse nous entendre malgré tous nos réclamations et nos plaintes. Pourquoi l’I.E.R accepte-il nos dossiers des demandes de conciliation sans les étudier et le C.C.D.H qui confisque notre premier exemplaire de notre journal de l’organisation transformé en un manuscrit de 32 chapitres et 165 pages avant qu’il soit édité et imprimé par la maison d’édition LULU.com à Londres en Angleterre a été confisqué par un membre du C.C.D.H ?sans que nous connaissions la raison. www.monadamat abnaa mohamed elkhamis .http://belhoussine.jimdo.com
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    Jeudi 25 Avril 2013 à 20:09
    SOS
    ++++++++++ LES BOURREAUX DES JOURS AMBIGUS EN 1956+++++++ ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Une vrai histoire vrai et réelle. Il s’agit des survivants des boucheries commises contre les héros de l’indépendance du Maroc en 1956 .Après quelques mois du retour du Roi exilé Mohamed ben Youssef DIEU le loge dans ses vaste paradis et la libération du pays un comité exécutif du parti politique unique et autoritaire crée une bande de mercenaires pour exterminer les chefs et les membres des deux organisations secrètes
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